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André et son petit personnage shadokien Mr A., qui a enchanté nos murs parisiens avec ses «Love Graffiti», est devenu une icône emblématique de la Hype parisienne. Presque comme un logo, on le retrouve décliné en Nabaztag, Sticker d’intérieur, bearbrick, ou encore plus flamboyant, sur le dos nu de sa femme Uffie. Porté par son réseau d’influence, de Colette à la Clique, le petit personnage s’est aussi bien exporté à l’étranger, de New York à Tokyo. Car André, c’est aussi un Golden Boy.

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Jusqu’au 27 février,  André récidive chez Colette, mais avec une exposition « drawings » qui fait découvrir un travail plus personnel et intime, loin de toute commercialisation de l’art. Cette série est inspirée par l’imagerie de l’amour psychédélique des années 60’s et 70’s, mélangé au souvenir qu’il a des bandes dessinées qu’il lisait petit. Dans le monde d’André, ses dessins sont une sorte de monnaie, comme des billets doux pour s’échanger l’amour.