Si le Street art est devenu un champ exploratoire du luxe, l’artiste anonyme Kidult joue la résistance avec sa vidéo-manifesto, trouvée sur Viméo : « Dans une culture subventionnée où le Street art est devenue la dernière lubie, plusieurs marques de luxe utilise le graffiti comme faire valoir, en méprisant cette culture. J’ai donc décidé de leur donner ce que ces marques aiment tant… » Le ton est donné. Mais qui est Kidult ? Un hacker de luxe ?