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On a beaucoup parlé du coup d’éclat buzz de Lanvin avec sa danse disruptive, où la Ghetto-Bourgeoisie se libère au contact de la rue. Chez Prada, on fricote pas aussi finalement avec le populaire, même si l’un dans l’autre, on rejoint la même idée : la fracture sociale entre le consommateur éduqué et le nouveau consommateur parvenu, se rejoignent dans cette culture du People-Nightclubbing. Pour conclure cette semaine thématique Danse2luxe, je terminerais par mon spot favori, Prada Candy, moins vu ou commenté, mais largement plus excitant, à mon sens. De La leçon de piano à La pianiste, l’archétype de la jeune fille de bonne famille porte la frange à la Louise Bourgeoise des années 30, fille de gangsters, tonitruante à souhait comme dans un film de Quentin Tarantino. Du burlesque coquin pour perturber l’éducation strict de la jeune fille des quartiers chics ? Et si le loubard, peu éduqué, très violent, plein d’argent et toujours en cavale n’était pas l’idéal cavalier de la nouvelle jeune femme Prada ? Bonnie and Clyde…